
D’abord, il y a l’illustration de couverture, tout en délicatesse et en érotisme, légèrement nacrée sur un fond noir mat, qui tient autant du manga que des peintures d’Hokusaï. Puis il y a le titre, « Le Bureau des jardins et des étangs » - Stock 2017 -, énigmatique et très beau, qui déjà nous emporte loin, très loin … Enfin, il y a l’héroïne de Didier Decoin, Amakusa Miyuki, drôle de petite frimousse dans le Japon du XIIème siècle, confrontée à la mort de son mari Katsuro et au devoir d’apporter les...
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